Je ne peux que remercier l’équipe de noclip de me donner l’occasion de parler à nouveau de Dishonored. Cette licence qui a donné un nouveau souffle aux FPS en mettant à nouveau à l’honneur l’infiltration, mélangeant habillement pouvoirs et armes à feu, le tout dans un univers vivant où l’on souhaiterait pouvoir se perdre des heures.

Je ne sais pas si c’est mon background de joueur ou le peu de développement que j’ai pu faire durant mes études mais j’ai toujours trouvé que Dishonored correspondait à tout ce qui fait qu’un jeu est un peu plus magique que les autres.

Nous donner la possibilité de jouer de plusieurs façons différentes est un bon point, mais l’équipe d’Arkane Studios (Austin et Lyon) va un peu plus loin à chaque fois. Elle nous permet de jouer comme on le souhaite sans nous guider ni nous forcer la main et on a souvent l’impression d’avoir réussit à sortir des « rails » du jeu.

Encore mieux, elle nous montre que l’environnement dans lequel on s’aventure évolue suivant nos actions et elle nous donne l’impression d’avoir pensé à toutes les possibilités qu’on nous offre.

Les personnages sont vivants, les villes sont réalistes, le quotidien des habitants est omniprésent pendant notre exploration et on a un sentiment qu’on retrouve d’habitude dans les RPG alors qu’on se trouve dans un FPS orienté action/infiltration.

Et cette sensation est amplifiée par la liberté de déplacement dans les niveaux, où l’on peut se mouvoir verticalement en utilisant des escaliers mais aussi la plupart du temps un don de téléportation.

Tout ça pour vous dire que noclip a réalisé un documentaire de presque une heure sur le développement de Dishonored 1 et 2. On y découvre des anecdotes sur la production, et c’est une vidéo incontournable pour les amoureux des jeux vidéo.