L’univers
On a l’impression d’être à nouveau projeté dans un univers parallèle de Miyazaki où les ennemis ressemblent aux personnages sans visage du Voyage de Chihiro mais aussi aux animaux dans Princesse Mononoke.
Le jeu
Dès le début on découvre rapidement des talents assez classiques comme la faculté de réaliser un double saut, de faire des roulades ou de grimper le long de certains murs. La prise en main se fait de façon immédiate et on prend plaisir à se déplacer dans ce monde coloré.
Contrairement à GRIS où l’on voyait notre personnage évoluer seule, c’est ici la relation entre Alba et Neva qui est au coeur du gameplay. Neva va grandir au fur et à mesure de l’histoire et par la même occasion nous allons découvrir ses pouvoirs qui vont nous permettre d’avancer dans cet univers de plus en plus désolé. Et comme dans GRIS, cette évolution est parfaitement dosée. On apprends petit à petit à utiliser les capacités de notre duo, que ce soit pour parcourir le monde en sautant de plateformes en plateformes ou pour se battre contre des ennemis de plus en plus nombreux.
Comme dans GRIS, Neva nous propose une aventure en couloir où il faut résoudre des puzzles et battre des ennemis pour avancer. Toutefois il est recommandé de prendre son temps en s’arrêtant ici et là, en cherchant des recoins cachés pour découvrir tous les petits détails éparpillés par les développeurs.
L’atmosphère
La durée de vie
Le studio a fait les choses biens en proposant deux modes de jeu, un mode classique et un mode histoire. Ce dernier empêche Alba de mourir durant les combats, mais vous permet aussi d’avoir une assistance pour les scènes de plateformes.